Abécédaire de 
  
             SAGARD.... TRAÎTRES Desmarais, Mulroney, Chrétien, Charest, les gourneu
r(E)S GÉNÉRALSPAUL DESMARAIS: PION DE LONDRES

Et oui, Paul Desmarais est membre du Conseil privé de la reine pour le Canada
Paul desmarais a eu la médaille britannique de l'ORDRE IMPÉRIAL
(Londres    via ) Paul Desmarais est l’ancien employeur de Pierre-Elliott  Trudeau,   Jean  Chrétien, Paul Martin, Brian Mulroney ainsi que de  Maurice  Strong,  le «  père des Accords de Kyoto » qui a été mis à la  porte pour  avoir   participé à une fraude de 10 milliards USD dans le  cadre du  programme   Pétrole contre nourriture en Irak.Jean Chrétien fut consacré CHEVALIER DE LA REINE
Paul G. Desmarais, Sr.: est l'homme le plus riche au Canada
et membre du Conseil de Sa Majesté pour le Canada.
Il est membre de plusieurs conseils avec Maurice Strong, un dispositif haut de Philippe World Wide Fund for Nature Prince. Par exemple, Desmarais et Strong, directeur honoraire sont et président honoraire, respectivement, de la-Canada Business Council de la Chine. Desmarais a utilisé ses contacts en Chine pour gagner génératrices de contrats d'électricité pour Power Corp, et à obtenir des concessions d'or de Barrick. Desmarais est co-propriétaire de l'Europe un réseau privé de télévision, la plus importante banque Groupe Bruxelles Lambert, et de Petrofina géant pétrolier en Belgique. En tant que commandant de la Belgique L'Ordre de Léopold II, il semble naturel pour lui de participer à Barrick de recoloniser l'ancien Congo belge.
Paul Desmarais ou ses fils font partie de nombreuses associations dénoncées par la gauche, tels le groupe Bilderberg, le North American Competitiveness Council qui définit le Partenariat pour la sécurité et la prospérité, ainsi que le Council on Foreign Relations de la famille Rockefeller. PCC collabore avec le Groupe Carlyle auprès de George W. Bush ainsi que du demi-frère de Nicolas Sarkozy. La famille Desmarais entretient également des relations avec les dynasties industrielles françaises Dassault, Peugeot et Rothschild



en recevant d'elle la médaille de lOrdre Impérial
Nous sommes le jeudi 16 octobre 2008. 
Après    que l’hélicoptère CH-146 des Forces armées canadiennes se soit  posée    au domaine de Sagard, Nicolas Sarkozy entre dans le grand salon  afin    d’y être dignement reçu par son hôte, Paul Desmarais.  Demain,   débutera   le sommet de la francophonie à Québec et le grand manitou de   Power   Corporation en profite pour recevoir quelques amis.


La propagande eugéniste (de tuer ou de ne pas aider ceux qui sont dans le besoin car pour les classes sociales embourgeoisées le fait d'aider un pauvre c'est briser LA SÉLECTION NATURELLE des animaux arriérés et leur loi de la jungle) semée a la pelle par nos Médias a fait que même les végétaliens et les environnementalistes pensent comme les eugénistes HITLÉRIENS, c'est-a-dire qu'il faille exterminer les faibles afin de prévenir la surpopulation


René Lévesque, ENDURCI par ce qu'il a vécu durant la Deuxième guerre mondiale a été recruté par un agent du nom de Robb, qui était chef du bureau montréalais de l'Office of War Information, (OWI) (2) un service de renseignement nominalement américain, mais sous contrôle britannique. Lévesque a été envoyé à New York pour rencontrer Pierre Lazareff, l'éditeur-en-chef des services français de L'OWI. Il a été rapidement envoyé à Londres. À la fin de la guerre il avait atteint, selon lui-même, l'équivalent d'un rang de capitaine : «On était quand même parmi les gars les mieux payés. J'avais une sorte de grade assimilée de lieutenant. Je pense que j'ai fini capitaine. Je n'étais pas capitaine en charge d'une unité, mais l'équivalent» dit René Lévesque. (4)
Que    dire, aussi, de Claude Morin, l'ex-ministre du Québec sous le     gouvernement Lévesque, le sale traître qui était un agent de la GRC     depuis le début des années 1950 et qui est, en grande partie,     responsable de la déchéance de René Lévesque et de l’espionnage que     cette organisation terroriste (oui, oui, je parle de la GRC, là!) a mené     auprès de René Lévesque, du Parti québécois et du mouvement     indépendantiste dans les années 1950, 1960 et 1970, hein? Pour moi, les     vrais organisations terroristes dans cette histoire, ce n’est pas le     FLQ.
Ce    sont, plutôt, la GRC et le SCRS, l’organe fasciste qui a hérité  du    mandat d’espionnage de la GRC en 1983 par Pierre Elliott Troudeau, et     ce, sous recommandation du rapport MacDonald, un ancien président du     Parti libéral de l’Alberta qui s’est trouvé cette job-là pour nuire  aux    travaux de la Commission Keable que René Lévesque avait créé au  Québec    pour enquêter sur les crimes de la GRC dans l’Affaire Robert  Samson.   Les  faits...
La GRC s’est fait prendre la main dans le sac quand une de ses propre bombes a explosée à la face d’un de ses agents. Sans compter l’infiltration de manifestation en tant qu’agents provocateurs (faire du trouble pour justifier l’intervention policière). Pris les culottes baissées.
'Un État souverain'' mais souverain de quoi? Ce n'est pas un pays souverain que nous voulons: MAIS UN PAYS DE ''CITOYENS SOUVERAINS'' sous une gouverne humaniste évidemment c'st-à-dire sans pauvre, des habitudes de vie et d'alimentation saines enseignées par les Médias et les Écoles.

JACQUES PARIZEAU
Jacques Parizeau, a fait ses études à Londres, en 1940
Vous voyez combien la Couronne Britannique prépare ses pions-internationaux
Préparant son doctorat à Paris, Jacques Parizeau épousera sans restriction, l’enseignement d’un des plus grands économistes français du siècle : François Perroux. Pour lui, une économie ne se laisse pas faire, elle se bâtit. L’influence de ce grand économiste est énorme dans la destinée de Jacques Parizeau.
Sa thèse de doctorat sera présentée à Londres et c’est à Londres que Jacques Parizeau découvre .....
L'ex-ambassadeur canadien en Iran travaillait pour la CIA
ambassadeur     canadien en Iran, Kenneth Taylor, lors de la crise des otages de   1979,   en pleine révolution islamique, a révèle qu'il a agi comme   espion pour   le compte de la CIA. En entrevue au Globe and Mail, M.   Taylor rompt   lui-même le silence qu'il a gardé pendant 30 ans et admet   qu'il est   devenu espion à la solde des Américains à la suite d'une   entente secrète   entre le premier ministre canadien de l'époque, Joe   Clark, et le   président américain Jimmy Carter.

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