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vendredi 10 septembre 2010

MISSIONNAIRES BOURGEOIS DÉPEUPLENT SOUS LE COUVERT DE LA CHARITÉ ET DES BONNES OEUVRES: MENSONGES ET MENSONGES.... ET ON LES CROIT ENCORE

L'aide humanitaire internationale ... quoi et ...

humanitaire internationale, c'est taxer les pauvres des pays riches pour donner aux riches des pays pauvres"

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Mère Teresa était une escroc !

Une enquête d'un journaliste britannique nous. ... malades étaient détournés par
la soeur voleuse ! .... pauvres aurait-il alors été utilisé par la multinationale missionnaire » pour faire du prosélytisme religieux ? ...

Les dons venant de partout a travers la planète pour aider les pauvres indiens
malades étaient détournés par la soeur voleuse !


LES OEUVRES soi-disant de ‘’BIENFAISANCES’’ sont hélas tenues par des religieux hiérarchistes (la hiérarchie crée la majorité pauvre)

Voici quelques autres faits, complaisamment passés sous silence. En 1981, Mère Teresa se rendit à Haïti pour y accepter la Légion d’honneur, la plus haute distinction du pays. Elle la reçut des mains de la famille Duvalier, qu’elle remercia par un discours enthousiaste, expliquant que le dictateur Jean-Claude Duvalier -« Bébé Doc » - et sa femme Michèle non seulement « aimaient les pauvres » , mais étaient « adorés d’eux » ...

Quelques années plus tard, en 1990, Mère Teresa se rendit en Albanie, pays dont ses parents étaient originaires (elle est née à Skopje, capitale de la Macédoine). Elle n’eut aucun scrupule à déposer une couronne de fleurs sur la tombe de l’ancien dirigeant stalinien, Enver Hodja, fondateur de l’un des régimes les plus répressifs des Balkans. Elle en déposa même une autre, à Tirana, au pied d’un monument « à la gloire de la Grande Albanie » , qui comprend, aussi, le Kosovo (région de Serbie), l’Epire du Sud (situé au nord de la Grèce) et la zone ouest de la Macédoine (Etat indépendant). De nombreux Albanais se déclarèrent choqués de la voir s’afficher aux côtés de la veuve de l’ancien dictateur et ne rien dire sur les violations des droits de l’homme.

En 1992, Mère Teresa intervint lors du procès de M. Charles Keating, l’un des plus grands fraudeurs de l’histoire financière des Etats-Unis. Son escroquerie aux caisses d’épargne lui avait permis de mettre la main sur 252 millions de dollars, volés principalement à de petits épargnants. M. Keating, qui avait auparavant mené campagne contre la pornographie, avait offert à Mère Teresa 1 250 000 dollars ainsi que l’usage de son avion privé. En échange de quoi, la« sainte médiatique » n’avait pas hésité à user de son prestige pour aider M. Keating. A tel point que lorsque Mère Teresa envoya une lettre réclamant la clémence du tribunal pour un homme qui « a beaucoup fait pour aider les pauvres » , l’un des procureurs répondit en lui demandant de restituer l’argent qui lui avait été versé (et qui provenait du vol). Toujours trop innocente pour pouvoir détecter la malhonnêteté des autres, elle refusa.

LADY DIANA

Mère Teresa, une sainteté médiatique« Les saints , écrivait George Orwell en 1949, devraient toujours être jugés coupables, jusqu’à ce qu’on ait prouvé leur innocence. » La carrière de Mère Teresa suggère l’inverse. Alors que la plupart des personnalités publiques voient leur réputation jugée à la lumière de leurs actes, Mère Teresa, elle, voit ses actions évaluées à l’aune de sa réputation. Une réputation de sainte, généreuse, dévouée à la cause des pauvres et des damnés.
Deux exemples récents. En novembre 1995, la population irlandaise dut décider, par référendum, d’abroger l’interdiction du divorce. L’Irlande était le seul Etat européen à maintenir cette interdiction. Or le pays négociait alors avec les protestants d’Ulster, lesquels redoutaient qu’un accord avec Dublin ne débouche sur un plus grand contrôle de leurs vies par le clergé catholique. En partie pour les rassurer, la plupart des partis irlandais appelèrent à voter« oui » au référendum. Le scrutin promettait d’être très serré (en définitive, le« oui » l’emporta par 50,3 % des suffrages). Mère Teresa, qui n’est pas irlandaise, appela à voter« non ».

Quelques mois plus tard, elle accordait un entretien à un magazine américain, Ladies Home Journal (1), lu par des millions de femmes au foyer. Interrogée sur son amitié pour Lady Diana, princesse de Galles, et sur le divorce imminent dans la famille royale britannique, Mère Teresa n’hésita pas à expliquer, parlant du mariage : « C’est bien que ce soit fini. Personne n’était vraiment heureux. » On le voit, avec Mère Teresa, les pauvresses ont droit à des sermons sur la morale et sur l’obéissance, les princesses bénéficient de tous les pardons et de toutes les indulgences. Aucun journal ne releva ces déclarations contradictoires. Le faire eût terni l’image flatteuse de la« sainte médiatique ». Pourtant, le contraste entre théorie et pratique en dit long sur Mère Teresa.

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