REGISTRAIRE
17(1) Le registraire est le plus haut fonctionnaire du bureau du registre minier créé en vertu du paragraphe 18(1). Il supervise les opérations du bureau et remplit les fonctions que lui confère la présente loi.
18(2) Le registraire :
a) tient un registre permanent des aliénations minières et des baux miniers;
b) conserve, dans ses dossiers, les documents et les actes relatifs aux aliénations minières et aux baux;
c) dresse des plans indiquant l'emplacement des aliénations minières et des baux enregistrés et les garde dans ses dossiers.
INSPECTIONS PAR LA COMMISSION MINIÈRE
Inspections par la Commission minière
37(1) La Commission, ou un inspecteur agissant pour le compte de celle-ci, peut, pour régler une affaire relevant de la compétence de la Commission, pénétrer dans une aliénation minière, un bail, une mine ou sur le bien-fonds visé, en donnant trois jours de préavis à l'exploitant ou au titulaire, et procéder à une inspection afin de s'assurer que l'exploitant de la mine ou que le titulaire de l'aliénation, du bail ou de la mine se conforme à la présente loi ou à une ordonnance de la Commission.
PERMIS
SECTION 1
PERMIS DE PROSPECTION
45(1) À moins d'être titulaire d'un permis de prospection, il est interdit, sur un bien-fonds de minéraux domaniaux ou dans celui-ci :
a) d'explorer en vue de trouver des minéraux, à l'exception de minéraux de carrière;
b) de jalonner un claim ou de l'enregistrer.
DONC, MÊME SI ON EST PROPRIÉTAIRE DE SA TERRE, ON A PAS LE DROIT DE L'EXPLOITER À DES FINS MINI;ERES sans en avoir la permission de l'État......
Droit de prospection du titulaire
47 Sous réserve de la partie 9, le titulaire d'un permis peut pénétrer, demeurer et voyager sur un bien-fonds de minéraux domaniaux qui est ouvert à la prospection et au jalonnement et sur les autres biens-fonds dont les droits d'entrée, de jalonnage de claims et de prospection sont réservés à la Couronne. Il peut prospecter et jalonner ces biens-fonds et y travailler conformément à la présente loi et employer sur ces biens-fonds les véhicules, la machinerie, l'équipement, les fournitures, le personnel et les installations temporaires qui sont nécessaires à la prospection, au jalonnement et aux travaux.
52(1) Le lieutenant-gouverneur en conseil peut, par règlement, désigner des zones pour lesquelles la délivrance de permis d'exploration est interdite.
Prorogation de la période de confidentialité
59(3) Le public n'a pas accès au rapport pendant la période de dix ans qui suit la fin de la prospection aéroportée si la personne qui le dépose demande au directeur, par écrit, de proroger la période de confidentialité du rapport.
Mise en commun des parts dans les minéraux
177(1) Tant qu'elle ne dispose pas de sa part de redevances qui est mise en commun avec celle de l'amodiataire, la Couronne en demeure propriétaire, malgré que cette part soit indissociable de celle de l'amodiataire du fait de leur mise en commun.
RECOUVREMENT
180 Le montant des redevances, des cotisations, des charges ou des loyers payables par un exploitant, ainsi que les intérêts en découlant, sont des dettes de l'exploitant envers la Couronne. Ils sont recouvrables à titre de dette, devant un tribunal compétent, au nom de Sa Majesté du chef du Manitoba.
REMISE EN ÉTAT
187 Pour l'application de la présente partie, la « remise en état progressive » représente la remise en état du chantier au fur et à mesure de l'avancement des travaux du chantier.
Exécution du plan de fermeture
188(1) Les promoteurs mettent sur pied et exécutent le programme de protection de l'environnement et de remise en état du chantier prévu au plan de fermeture approuvé.
LA PREUVE QUE LA REINE BRITANNIQUE DIRIGE TOUT AU CANADARÈGLEMENTS
Règlements par le lieut.-gouv. en conseil
230 Le lieutenant-gouverneur en conseil peut, par règlement :
a) prévoir quelles sont les substances minéralisées, les substances non minéralisées et les minéraux de carrière;
b) définir des termes qui ne le sont pas dans la présente loi;
c) élargir ou restreindre le sens d'un terme défini dans la présente loi;
d) prévoir la délégation des pouvoirs et des fonctions du ministre aux termes de la présente loi à certains dirigeants du ministère;
e) prévoir les ententes de location ou de travaux portant sur les biens-fonds de minéraux domaniaux qui ont été retirés aux termes du paragraphe 14(1);
f) prévoir la forme et le contenu des demandes et des documents de cession qui sont utilisés en vertu de la présente loi;
g) prévoir la délivrance et le renouvellement de permis, de licences, de baux et de certificats aux termes de la présente loi ainsi que les conditions de délivrance et de renouvellement de ces documents;
h) prévoir les droits, les cotisations et les autres frais exigibles aux fins de la présente loi;
i) prévoir les dépôts aux termes de la présente loi;
j) prévoir les loyers payables aux termes des paragraphes 109(2), 128(2) et 150(1);
k) prévoir une aide gouvernementale à l'exploration pour trouver des minéraux ou des substances minérales, à leur exploitation, à leur récupération et à leur traitement, ainsi que les conditions gouvernant l'octroi de cette aide;
l) prévoir l'enregistrement de claims;
m) établir les zones désignées de la province pour l'application des paragraphes 52(1) et 56(2) ainsi que de l'article 13;
n) prévoir le jalonnement de claims ainsi que la façon d'en maintenir les limites et les bornes;
n.1) prévoir les rejalonnements correcteurs en vertu de l'article 67.1;
o) prévoir les docimasies, la délivrance de coupons d'essai ainsi que l'utilisation des résultats de docimasies fournis par le ministère;
p) prévoir les travaux obligatoires relativement aux claims, aux permis d'exploration et aux baux, les dépenses admissibles pour ces travaux ainsi que la forme des rapports de travail et leur présentation;
p.1) prendre des mesures concernant l'étendue maximale des regroupements pour l'application des articles 81 et 81.1;
p.2) désigner des régions de la province pour l'application du paragraphe 81.1(1);
q) prévoir les méthodes de forage et d'abandon des trous de sonde et des trous de forage au diamant ainsi que les mesures à prendre pour protéger les couches géologiques contre l'infiltration et pour protéger ou remettre en état la surface des bien-fonds altérée par le forage;
r) prévoir les mesures de redressement lorsqu'un trou de sonde ou un trou de forage au diamant est terminé;
s) prévoir l'élimination des carottes, des déblais de forage et des échantillons;
t) prévoir l'accès du public aux carottes et aux caisses de storage des carottes ainsi que l'élimination des carottes et des caisses;
u) prévoir les rapports d'études de faisabilité et d'études préliminaires à la préparation;
v) prévoir les prospections aéroportées ainsi que les avis et les rapports relatifs à ces prospections;
w) prévoir l'aliénation des droits de surface d'un emplacement minier, y compris les demandes de baux de surface et les conditions de ces baux;
x) prévoir les redevances, y compris les exemptions et les modifications de redevances ainsi que les renonciations à celles-ci;
y) prévoir les taux d'intérêt ainsi que leur mode de calcul aux fins de la présente loi;
z) prévoir les déclarations, les rapports, les plans, les cartes, les états et les autres renseignements que doivent présenter les titulaires ou les exploitants relativement aux travaux, à l'exploitation, à l'exploration, à la préparation, à la production et aux dépenses qu'ils ont engagées;
aa) prévoir le caractère confidentiel des renseignements obtenus conformément à la présente loi et à ses règlements d'application;
bb) prévoir l'exploitation des mines;
cc) prévoir les licences d'exploitation de carrière, y compris l'établissement de différentes catégories de ce genre de licences, ainsi que les normes de production pour ces licences;
dd) prévoir le traitement et le raffinage des minéraux, du minerai et des substances minéralisées extraits d'un bien-fonds de minéraux domaniaux;
ee) prévoir la protection et la remise en état de l'environnement prévue aux termes de la présente loi;
ff) prévoir la remise en état des emplacements miniers ainsi que les cotisations de remise en état;
gg) prévoir l'ouverture, la fermeture, la réouverture ou l'abandon d'une mine;
hh) prévoir les mesures de sécurité à prendre dans le cas de mines inactives ou abandonnées;
ii) prévoir les plans de fermeture;
jj) prévoir les ouvrages d'exploration avancée;
kk) prévoir quels sont les organismes publics aux fins de la présente loi;
ll) prévoir les fonctions du directeur, des inspecteurs et du registraire;
mm) prendre les mesures réglementaires prévues par la présente loi;
nn) prendre les mesures nécessaires à l'application de la présente loi.
Hold-up Britannique mondial sur les ressources...
Est-ce que nos Premiers Ministres nous informent des investissements que nos Pays font dans d'autres Pays et sur leurs véritables missions??? NON !En Afrique, comme au Canada, les sociétés privées AUX SOLDES DE LONDRES obéissent à une même logique : prendre possession des ressources d’un pays pour une bouchée de pain puis en tirer des profits financiers colossaux sur les places boursières, pour enfin inscrire les actifs dans des paradis fiscaux. Le scandale des paradis fiscaux, lui, est permanent. Aujourd'hui même, des milliards de dollars échappent à l'impôt par cette voie, des sommes considérablement plus élevées que celles mises en jeu par le scandale des commandites. Et rien ni personne ne semble vouloir mettre fin à cette hémorragie.
Les agissements hautement critiquables des sociétés minières et pétrolifères canadiennes en Afrique. Les sociétés canadiennes se rendent coupables de corruption, de pillage institutionnalisé des ressources minières ou pétrolières des pays africains, et attisent ou maintiennent l’instabilité et les conflits pour obtenir de juteux contrats..... La liste est longue : ingérence politique et contrats outrancièrement avantageux dans la fragile République démocratique du Congo, partenariats avec les seigneurs de guerre, vendeurs d’armes et mercenaires de la région à feu et à sang des Grands Lacs, collusions mafieuses dans l’Ouganda voisin, mineurs enterrés vifs en Tanzanie, empoisonnement massif et « génocide involontaire » au Mali, expropriations brutales au Ghana, transformation des Ivoiriens en cobayes pharmaceutiques, barrages hydroélectriques dévastateurs au Sénégal, privatisation sauvage du transport ferroviaire en Afrique de l’Ouest…
Ces abus sont rendus possibles par un soutien sans faille du gouvernement canadien et la désinformation qui font abêtissent et rendent les citoyens naifs.
La Bourse de Toronto, extrêmement permissive, est taillée sur mesure pour les compagnies minières et pétrolifères mondiales accueillies à bras ouverts par un gouvernement qui leur offre une couverture juridique quant aux abus qu’elles commettent à l’étranger.
Le Canada, notamment avec l’aide de l’ACDI, maintient l’Afrique dans un état de dépendance post-coloniale.
UN PEU D'INFORMATIONS GLOBALES
La Barrick Gold est la plus grande compagnie d'OR au Monde, et elle est située au Canada.... mais appartient en réalité à la Couronne d'Angleterre PUISQUE LE CANADA EST UN DOMINION BRITANNIQUE ET ASSUJETI À LA COURONNE D'ANGLERRE.
Georges Bush (père) a agi à titre de conseiller pour Barrick Gold jusqu’en 1999. Simple retour de l’ascenseur si l’on tient compte du fait que Bush avait rendu possible la prise de contrôle par la firme canadienne d’une propriété appartenant à l’État américain dont les réserves d’or étaient évaluées à dix milliards de dollars. En 1996, Bush a par ailleurs facilité l’octroi d’une concession territoriale offerte à Barrick Gold par le gouvernement indonésien. Une lettre qu’il avait fait parvenir au président Suharto faisait l’apologie de la firme de Toronto, ce qui, pour plusieurs, sonna le glas des autres compagnies engagées dans les négociations avec l’Indonésie. Parmi celles-ci : Bre-X, dont le prix de l’action avait atteint des sommets avec 240 $. Aucune surprise, c'est Barrick qui réussit à obtenir la majorité des intérêts investis dans le projet. Or, quand une rivale, Freeport McMoRan Gold and Copper, fit un rapport négatif sur la concession indonésienne, Barrick Gold comme Bre-X furent toutes deux traînées dans la boue. Et si l’on se fie à des propos tenus par des actionnaires de Bre-X, les dirigeants de Barrick savaient que les échantillons testés par Bre-X étaient des faux. Cet épisode est devenu le plus gros scandale de l’histoire du secteur minier.
Avril 13, 2007 (EIRNS)-Bien que Al Gore a annulé son Barrick parrainé par une allocution d'or au Chili, à la suite d'un bâtiment, LaRouche Political Action déclenchée par le scandale du Comité au cours de liens Barrick au génocide dans la région des lacs Afrique des Grands en 1994, ancien vice-président de l'liens à l'entreprise canadienne courir beaucoup plus profond que tout un discours trop chers.
Bien que l'ancien président George HW Bush et l'ancien Premier ministre canadien Brian Mulroney sont tous deux membres du conseil de Barrick, la société a été fondée et est, à ce jour, dirigé par Peter Munk, un homme d'affaires canadien qui se trouve aussi être un protégé de son propre mentor Gore Maurice Strong. Les personnes nées canadien est un homme de droite au prince Philip à la Wide Fonds mondial pour la nature (WWF), et est également un personnage central dans l'avant WWF financement d'ombre, le Club 1001. Le Club 1001 a une joint-venture du prince Philippe et la fin des "nazis" Prince Bernhard des Pays-Bas, qui a lancé le privé, sur invitation seulement Club dans les années 1960 pour financer l'offensive verte dans le monde entier. À un moment donné, 1001 proéminent, des particuliers fortunés sont membres du Club, et ils paient chacun un droit d'entrée 10.000 $ et la cotisation annuelle, fournissant WWF avec un roulement de 10 millions $ de fonds d'exploitation privée. Lorsque le Club 1001 a d'abord été mis sur pied, Maurice a contribué main forte reprise des membres, et personnellement contrôlés tous les membres canadiens, y compris Barrick Gold, Peter Munk.
Strong a été liée avec Al Gore dans une chaîne d'ombre verte des entreprises commerciales », y compris le métal en fusion d'une entreprise du Massachusetts qui prétendait avoir inventé un système de traitement des eaux usées. La société traite le gouvernement fédéral à des dizaines de millions de dollars, le système breveté s'est avéré être un raté, et Strong, avec temps chef d'Al Gore un agent d'al du personnel et des partenaires d'affaires en cours au hedge fund Generation à Londres, Peter Knight , ont vendu leurs actions de la société à un joli bénéfice basée sur une information privilégiée, juste avant que le stock et la société subissait des perturbations majeures.
"... Est Abeles (PETER MUNK) est connu en Europe comme le« chevalier blanc », en référence à la fois pour sa chevalerie britannique, et son rôle important signalé dans le commerce de la cocaïne. Jonathan Kwitney, in {The Crimes of Patriots} (New York: WW Norton, 1987) (New York: WW Norton, 1987), rapporte que, après avoir rencontré des problèmes Abeles syndicat dans son entreprise américaine, a donné à Abeles gangster 'associés de ... le chef le plus puissant de la mafia-Unis États ... une participation de 20% dans ses opérations américaines. Ses partenaires ont été inculpés pour cacher ses paiements, mais Abeles refusé de venir en Amérique pour témoigner, et les charges ont été abandonnées. … “ ... "
Aujourd'hui, sa valeur globale est estimée à 350 millions de dollars. Le rachat de Munk est l'œuvre de l'entrepreneur d'Arabie Adnan Khashoggi, qui allait à la notoriété en tant qu'intermédiaire Ollie du Nord dans l'affaire Iran-Contra. Khashoggi et Munk ont lancé leur partenariat avec une série d'investissements de l'hôtel. En 1983, l'entrepreneur Arabie pillé sa réserves de trésorerie de graisse pour l'achat de Barrick. Munk was installed as chairman.Ce fut à peu près en même temps que Roosevelt cimenté les relations avec Khashoggi, qui a apporté le long Munk, au nom de la CIA. La division offshore des ressources Khashoggi Barrick contrôlée Jetborne, Inc, une société à Toronto utilisé par Khashoggi pour expédier des armes à l'Iran sous la direction de NSC Reagan. … ...
Au sein de Barrick Gold siègent – ou siégèrent – des personnalités de haut rang, telles qu’Andrew Young, ancien maire d'Atlanta, William S. Cohen, ancien secrétaire à la Défense sous Bill Clinton, Paul Desmarais, président de la compagnie canadienne Power Corporation, mais aussi Gustavo Cisneros, Brian Mulroney et lord Charles Powell de Bayswater.
Société aurifère Barrick (Barrick Gold Corporation en anglais) est une entreprise canadienne dont le siège social est situé à Toronto, Ontario. Elle est un chef de file international dans l'extraction minière de l'or. L'entreprise opère différents sites aux États-Unis, au Canada, en Australie, au Pérou, au Chili, en Argentine et en Tanzanie. En 2003, elle a produit 5,5 millions d'onces troy 170 000 kg) d'or à un coût moyen de 189 dollar US par once troy (environ 6 $ par g). Au 31 décembre 2003, elle affirme avoir une réserve d'or de 86 millions d'onces troy (2 700 000 kg). Le 20 janvier 2006, elle a obtenu le contrôle de Placer Dome, devenant ainsi le premier producteur mondial d'or OFFICIELLEMENT.
SI ELLE PAYAIT AUX CANADIENS LA MOITIÉ EN IMPÔTS NOUS SERIONS TOUS MILLIONNAIRES !
Cette compagnie britannique a recours au cyanure pour extraire de l'or au lac Cowal. Elle prévoit excaver des glaciers constitués d'eau relativement pure à Pascua Lama au Chili et elle a déversé, en 2004 et en 2005, au moins sept tonnes de mercure dans une mine près de la ville de Kalgoorlie-Boulder en Australie.
Le livre Noir Canada, dénonce de ''Pillage, corruption et criminalité en Afrique'' Barrick Gold.
En Février 2010, Barrick a annoncé la création d'Afrique Barrick Gold plc. La société est cotée sur le London Stock Exchange sous le symbole ABG. Barrick Gold a quatre mines d'or en Afrique en productions dont au nord-ouest de la Tanzanie - North Mara, Bulyanhulu, Tulawaka et Buzwagi - en plus d'une série de propriétés d'exploration
L'Australie figurant sur la liste des gîtes minéraux , qui a produit 160.000 onces d'or en 2009 à partir de sa mine d'or de Sabodala au Sénégal.
Barrick Gold: 25% du capital a été placé à Londres. C'est donc finalement 25% du capital de sa filiale africaine, African Barrick Gold, que le géant canadien des mines d'or Barrick a placé sur le marché de Londres. En 2009, le cash cost de l'or extrait par Barrick Gold en Afrique était de 617 dollars par once, soit le plus élevé de toutes les régions où le groupe canadien est présent. En 2009, le cash cost moyen du mineur canadien se situait à 474 dollars par once.
Par exemple, le Régime de pension du Canada avait investi en Bourse, au 31 mars 2006, quatre millions de dollars dans la société canado-australienne Anvil Mining, qui exploite notamment une importante mine de cuivre et d'argent à Dikulushi, dans le sud-est de la RDC, près de la frontière zambienne. Anvil, qui a ses pénates à Montréal, avait été mêlée à une sale affaire deux ans plus tôt, en octobre 2004, en fournissant aux forces armées congolaises le soutien logistique (avions, camions, vivres) nécessaire pour mater une rébellion. Une mission de l'ONU avait ensuite établi que, grâce à ces ressources, des violations des droits de la personne avaient été commises par l'armée.
En 2003, 53 % des entreprises minières actives en Afrique étaient canadiennes.
Plus largement, on reproche à des entreprises canadiennes comme Anvil, AMFI, Emaxon, First Quantum Mining (FQM), Kinross, Lundin et Barrick Gold, ainsi qu'à la pétrolière de Calgary Heritage Oil, d'avoir en sous-main tiré des ficelles politiques et financières en RDC, à partir du milieu des années 1990, au moment où Mobutu — qui aura du reste eu le temps d'accumuler une fortune évaluée à 40 milliards à sa mort, en 1997 — commence à être lâché par ses alliés occidentaux, les États-Unis en tête. Ces sociétés investissent alors le pays et soutiennent la rébellion de Laurent-Désiré Kabila contre le vieux dictateur en échange de «contrats abusifs» qui leur procurent des monopoles miniers formidables dans la boîte de Pandore que devient l'Est congolais, avec, à la clé, une montée en flèche de la valeur de leurs titres cotés en Bourse au Canada — au grand bonheur des actionnaires.
La Bourse de Toronto abrite plus de 1000 sociétés minières de partout dans le monde, ce qui en a fait leur capitale financière, mais aussi, disent les critiques, un paradis de la spéculation et une couverture judiciaire, avec le soutien politique et diplomatique de LONDRES via Ottawa. À l'une ou l'autre des entreprises mises en cause, ont apporté leur contribution, à titre notamment de conseiller spécial, les anciens premiers ministres Joe Clark, Brian Mulroney et Jean Chrétien.
Le Canada a souvent joué une politique étrangère d'hypocrisie
'' Tous les jours, je pense aux gens que j’ai rencontrés dans les zones de guerre de l’Est du Congo lorsque j’y faisais des reportages. Les salles des hôpitaux étaient remplies de femmes qui avaient été violées en série par des milices et auxquelles ont avait tiré une balle dans le vagin. Des bataillons d’enfants soldats – des jeunes de 13 ans abrutis par la drogue, conduits à tuer les membres de leurs propres familles en vue de tenter de s’échapper et de rentrer à la maison. Tandis que je regarde la guerre reprendre sur CNN, je me retrouve, de façon étrange, à penser à une femme que j’avais rencontrée, laquelle, selon les normes congolaises, n’avait pas souffert à l’extrême.'' nous dit Johann Hari est un journaliste et éditorialiste des quotidiens The Indépendant et Evening Standard. n dirigeant d’une milice congolaise, Laurent Nkunda – soutenu par le Rwanda MENT….. François Grignon, le directeur pour l’Afrique de l’International Crisis Group [ISI], me dit la vérité : “Nkunda est financé par les hommes d’affaires rwandais afin qu’ils puissent prendre le contrôle des mines au Nord-Kivu. C’est le cœur absolu de ce conflit.
Qui est donc Barrick Gold Corp?
- Le conseil d'administration -
Edward N. Ney: Edward N. Ney:
- La destruction de l'Afrique -
Il est compréhensible que Bush n'a pas voulu faire de la publicité de ses liens avec Barrick. La société n'est pas seulement un élément important des entreprises de Londres centrée Club des îles et les Britanniques mondiale de matières premières entente - un lien britannique qui pourrait se révéler embarrassante pour Sir George, à un moment où les relations anglo-américaines restent à un faible point, et quand les organes de propagande britanniques mènent une attaque-tous à la présidence des États-Unis.Mais, Barrick, avec l'Afrique du Sud basée sur l'Amérique anglo Corp, est engagé dans une métaux stratégiques d'appui dans l'Afrique centrale, qui est encouragé par le plus grand génocide par habitant dans les temps modernes.A partir d'avril 1993, lorsque le Président ougandais, Yoweri Museveni, au nom de Londres, a lancé le génocide de la majorité hutue au Rwanda, en passant par l'invasion en cours par le Museveni dirigée par les mêmes forces dans l'est du Zaïre, Afrique centrale et la Corne de l'Afrique ont été transformé en un champ de mort. Local, British-sponsored "countergangs'' have been unleashed to depopulate a region that possesses the world's richest strain of precious metal deposits, while a string of Club of the Isles metals cartels, including Barrick, moves in for the kill. Locales, en Colombie-parrainé "countergangs''ont été dégagés pour dépeupler une région qui possède les plus riches du monde souche de gisements de métaux précieux, tandis qu'une chaîne de club de métaux îles les cartels, y compris Barrick, se déplace dans la mort des autres.
EIR première exposition de cette politique de génocide le 19 août. 1994, in a cover story titled "The British Hand Behind the Horror in Rwanda.'' Then, on Oct. 28, 1994, in a {Special Report} titled "The Coming Fall of the House of Windsor,'' we revealed the existence of the secretive Club of the Isles, the House of Windsor-led oligarchical institution centered upon a tightly knit alliance of European princely families, London-based financial and insurance houses, and food and raw materials cartels. 1994, dans une histoire de couverture intitulée "La main britannique derrière nous les horreurs au Rwanda.''Puis, le 28 octobre 1994, dans un rapport spécial intitulé ()" l'automne prochain de la Maison de Windsor,''nous avons révélé les existence du secret Club des îles, la Chambre des oligarchique conduit institution-Windsor centrée sur un tricot serré alliance des familles princières européennes, basée à Londres, financière et des maisons d'assurance, et de la nourriture et des matières premières ententes matériaux. The Club of the Isles in turn deploys the resources of the global environmentalist movement, headed by the World Wide Fund for Nature (WWF, formerly the World Wildlife Fund), and its funding arm, the 1001 Club, as a propaganda and paramilitary arm of their one-world "New Dark Age'' agenda. Le Club des Îles dans déploie son tour les ressources du mouvement écologiste mondial, dirigé par le grand Fonds mondial pour la nature (WWF, anciennement World Wildlife Fund), et son bras financier, le Club 1001, comme la propagande et le bras paramilitaire de leur d'un «nouveau monde de Dark Age''ordre du jour.
Sous l'égide du WWF, la Couronne britannique a mis en place une chaîne de caractère situé stratégiquement conserve et les parcs nationaux, qui servent de point d'escale pour les frontières incursions, comme terrain d'entraînement pour les groupes terroristes, et de postes de commandement de la Colombie "anciens'' commandos SAS de diriger les massacres dans chaque partie de l'Afrique subsaharienne.
As we document below, in joining the advisory board to Barrick Gold, and throwing his political clout into facilitating Barrick's worldwide strategic metals grab, George Bush, has cast his lot with a collection of very unsavory characters, including Barrick's chairman, Peter Munk, and with the entire Canadian Bronfman gang. Comme nous le document ci-dessous, à se joindre au conseil consultatif de Barrick Gold, et jetant son poids politique en facilitant Barrick dans le monde entier métaux stratégiques d'appui, George Bush, a jeté son sort avec une collection de louches personnages très, y compris le président de Barrick, Peter Munk, et avec le gang Bronfman canadienne dans son ensemble.
Barrick and the South African Oppenheimer family's Anglo American Corp. are at the cutting edge of a Club of the Isles drive to recolonize a severely depopulated African continent, by busting up the post-colonial nation-states, beginning with Zaire; and then creating privately owned micro-states, in which what is left of the indigenous population is impressed into slavery. Barrick et l'Afrique du Sud Oppenheimer famille anglo-américain Corp sont à la pointe d'un Club des îles lecteur de recoloniser une dépeuplé continent africain sévèrement, par busting le post-coloniale des États-nations, en commençant avec le Zaïre, et puis en créant le secteur privé appartenant à des micro-Etats, dans laquelle ce qui reste de la population indigène est impressionné à l'esclavage. The novelist Joseph Conrad described these conditions graphically in his 1899 book {Heart of Darkness}. Le romancier Joseph Conrad décrit ces conditions graphique dans son livre 1899 () Heart of Darkness. Unless the oligarchy is stopped, Bush and his friends intend to reimpose those conditions. Sauf l'oligarchie est arrêté, Bush et ses amis ont l'intention d'imposer à nouveau ces conditions.
Brian Mulroney:
prime minister of Canada from 1984 to 1993. Premier ministre du Canada de 1984 à 1993. Mulroney became prime minister after backers of the Nicaraguan Contras helped knock out his competitor, Joe Clark. Mulroney est devenu premier ministre après les bailleurs de la contra nicaraguayenne aidé assommer son concurrent, Joe Clark. There were no serious investigations of the `Iran-Contra' Canadian connection. Mulroney sacrificed his political career by talking Canadians into accepting Bush's North American Free Trade Agreement (NAFTA). Il n'ya pas eu d'enquêtes sérieuses de la «Contra» canadienne de connexion et l'Iran. Mulroney a sacrifié sa carrière politique en parlant des Canadiens à accepter Bush libre échange nord américain (ALENA). Though Canadian banks benefitted, 350,000 industrial jobs were lost, and Mulroney became the most hated man in Canada. Bien que les banques canadiennes ont bénéficié, 350.000 emplois industriels ont été perdus, et Mulroney est devenu l'homme le plus détesté au Canada. In the 1993 elections, Canadians voted out all but 2 of his party's 169 members of Parliament. Dans les élections de 1993, les Canadiens ont voté, mais tous 2 de la partie 169 de ses membres du Parlement. En 1994, le téléphone Mulroney demande aux présidents du Chili et en Argentine, et le Premier ministre de Chine, a contribué à faire de Barrick en mines d'or dans ces pays. His "advice'' was rewarded with $1.2 million in stock options and $300,000 in fees. Rev. Sun Myung Moon rewarded Mulroney and Bush for their vouching for him in Ibero-America in November 1996. Mulroney, a board member of Archer Daniels Midland, ran ADM's internal "investigation'' of its price-fixing scandal.
Paul G. Desmarais, Sr.: est l'homme le plus riche au Canada
et membre du Conseil de Sa Majesté pour le Canada.
Il dirige Power Corporation du Canada - qui génère le pouvoir politique.
Il est membre de plusieurs conseils avec Maurice Strong, un dispositif haut de Philippe World Wide Fund for Nature Prince. Par exemple, Desmarais et Strong, directeur honoraire sont et président honoraire, respectivement, de la-Canada Business Council de la Chine. Desmarais a utilisé ses contacts en Chine pour gagner génératrices de contrats d'électricité pour Power Corp, et à obtenir des concessions d'or de Barrick. Desmarais est co-propriétaire de l'Europe un réseau privé de télévision, la plus importante banque Groupe Bruxelles Lambert, et de Petrofina géant pétrolier en Belgique. En tant que commandant de la Belgique L'Ordre de Léopold II, il semble naturel pour lui de participer à Barrick de recoloniser l'ancien Congo belge.
On trouve aussi d’autres groupes “ethniques” impliqués dans ce pillage en règle. Des Libanais, des Chinois, des Indiens… Mais c’est surtout de l’intérieur du Congo que ce pillage a été orchestré… avec la complicité de la Banque Mondiale ! Cette dernière a supervisé le nouveau code minier de 2002 qui permet aux multinationales de piller en toute légalité la République Démocratique du Congo.
PETER MUNK, juive hongroise, Il est le président-fondateur de la controversée compagnie minière Barrick Gold, la plus grande compagnie d'extraction d'or au monde. Il a ainsi racheté à fin 2007 l'ancien arsenal naval de la Yougoslavie à Tivat (actuel Monténégro) dans les bouches de Kotor qu'il va transformer en station balnéaire et méga-marina. Il est devenu Officier de l' Ordre du Canada (Canada plus haute distinction civile) et promu au rang de Compagnon de l'Ordre du Canada.
Peter Munk, président de Barrick Gold Corporation, a félicité le général Augusto Pinochet pour "transformer le Chili à partir d'une destruction des richesses et d'emprisonner des gens. Le Chili est déjà un pays très attrayant pour les compagnies minières étrangères et le nouveau président veut ajouter de nouveaux incitatifs fiscaux. Le Chili recèle des plus grandes réserves de cuivre, d’or et d’argent d’Amérique du Sud et plusieurs minières canadiennes — Barrick Gold, Teck Resources, Kinross Gold — y brassent des milliards.Pour plusieurs actionnaires canadiens, le nom de Peter Munk évoque de sombres souvenirs. En effet, l’actuel président de Barrick Gold a été mêlé dans les années 1960 à une histoire de délit d’initié avec son associé de l’époque, David Gilmour. Les deux hommes possédaient une firme d’équipement audio du nom de Clairtone Sound Company. Or, en 1967, peu de temps avant que Clairtone publie un rapport désastreux sur ses états financiers, Munk et Gilmour se débarrassèrent de 29 000 actions de la compagnie. Résultat : les actions de Clairtone se déprécièrent radicalement, passant de 9 $ à 1 $. À la suite de cet épisode peu reluisant, un des actionnaires de Clairtone, John Adams, intenta un recours contre les dirigeants de l’entreprise et réussit au bout du compte à négocier une entente à l’amiable qui lui rapporta 35 000 $ de compensation. La compagnie fut plus tard rachetée par la province de la Nouvelle-Écosse. Cette aventure laissa des marques indélébiles sur la réputation de Munk, qui se réfugia plus tard à Londres.
Bonne connaissance du prince Charles et du prince Philip, Peter Munk s’est appuyé sur un homme aux curieuses habitudes pour financer le démarrage de Barrick Gold. Il s’agit du trafiquant d’armes Adnan Khashoggi, présent dans de nombreux récits marqués par des scandales. En 1983, Khashoggi et ses associés fournirent des fonds pour l’achat de Barrick Gold Corp., à l’époque une entreprise de petite taille qui n’avait encore aucune renommée. Proche de la famille royale saoudienne, Khashoggi a principalement fait fortune dans le trafic d’armes et est l’objet d’un mandat d’arrêt des autorités thaïlandaises à la suite d’un scandale se rapportant à la Banque de commerce de Bangkok. Dans cette affaire, il est accusé d’un détournement de fonds d’une valeur de 64 millions de dollars. Puis dans un autre scandale à avoir fait les manchettes au milieu des années 1980, celui de l’Iran-contra, Khashoggi a agi comme intermédiaire entre le gouvernement américain et les délégués iraniens. Entre autres, il obtint 35 millions de la National Commercial Bank (BCCI) pour l’achat d’armes à destination du réseau d’Oliver North.
Parmi les associés de Khashoggi dans l’achat de Barrick Gold : le cheik Kamal Adham, ancien chef des services de renseignements saoudiens. À une époque pas si lointaine, Adham dirigeait la société Attock Oil, que possédait Gaith Pharaon, un des prête-noms liés aux nombreuses fraudes commises par la Bank of Credit and Commerce International. Adham était aussi un contact précieux pour la CIA et pour toute organisation désireuse de se rapprocher du palais royal saoudien. Il a ainsi permis à Northrop Grumman, Boeing, Dassault (fabriquant des avions de combat Mirage) et Lockheed Martin d’obtenir des contrats avec l’Arabie Saoudite, grâce auxquels il empocha de fortes commissions. Quand le scandale de l'Iran-contra éclata aux États-Unis, Khashoggi fut écarté de l’entourage de Barrick Gold afin de ne pas assombrir la réputation de la compagnie. En 1989, il fut arrêté en Suisse et emprisonné aux États-Unis à la suite d’une fraude impliquant le président Marcos des Philippines. Certains prétendent que Peter Munk collabora à sa libération en versant une caution de quatre millions de dollars. De toute évidence, Munk ne semble pas dérangé outre mesure par la sinistre réputation des gens de son entourage. À preuve, il aurait autrefois investi dans une banque appartenant à une de ses bonnes connaissances, Herman K. Beebe. La banque en question est la Palmer’s National Bank, dont le cofondateur était un certain Stefan Halper, qui avait travaillé pour George Bush durant la campagne présidentielle de 1980. Mais le partenaire de Halper, Herman K. Beebe, avait la particularité d'entretenir des relations avec le parrain de la mafia louisianaise, Carlos Marcello, ainsi qu’avec les trafiquants de drogue Edward et Scott Susalla. Avec Marcello, Beebe possédait des intérêts dans des maisons de retraite, des hôtels de la chaîne Holiday Inn et même dans le syndicat des Teamsters. Au début des années 1970, il a vendu des armes et des explosifs à des Cubains anticastristes opérant depuis le Mexique. À son apogée, Beebe dirigeait pas moins de 55 banques et 29 caisses d'épargne (savings and loans), dont la Silverado Savings and Loans, qui avait un président bien spécial : Neal Bush, frère de G.W. Bush.
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